Cette année 2024, on partait en vacances de printemps en voiture. Dans la zone C comme partout ailleurs en France, l’automobile est devenue le transport de référence pour partir sans sacrifier son budget famille. Elle permet de rejoindre une destination proche et ainsi, de limiter ses postes de dépenses.
Zone C : on se prépare aux vacances de printemps en voiture
Au début du mois d’avril 2024, la zone C avait eu la chance de profiter des congés printaniers. Pour beaucoup de familles, ce fut l’occasion de s’échapper de la routine le temps de quelques jours. Selon une importante étude, les Français accordent une grande importance à ce court moment d’évasion. Malgré certaines incertitudes, la volonté de partir reste forte. C’est pour cette raison que la plupart d’entre eux n’hésitent pas à passer leurs vacances de printemps en voiture.
La majorité des vacanciers privilégient les destinations en France, optant souvent pour la route pour rejoindre leur lieu de villégiature. Les voyages domestiques ont ainsi le vent en poupe, mettant en valeur les richesses touristiques du pays.
Cette préférence pour le tourisme national peut s’expliquer par la diversité des paysages, la proximité et une meilleure maîtrise des contraintes liées aux déplacements.
France : 30 % des Français pensent profiter des congés printaniers
Le 6 avril 2024 marquait le début des congés printaniers pour la zone C, en France. Selon le premier baromètre d’Easyvoyage, environ 30 % des Français, toutes zones confondues, prévoient de partir en voyage pour l’occasion. Dans un contexte économique tendu, ce moment d’évasion représente un moment privilégié, une occasion pour décompresser et un répit temporaire dans un monde souvent tumultueux.
Cette façon de voir les choses reflète un désir profond de s’éloigner du quotidien et de retrouver un semblant de normalité. Malgré les défis financiers, la valeur accordée à ces séjours pris à la volée demeure élevée. Ils ont un impact bénéfique pour le bien-être mental et émotionnel. Ainsi, les vacances de printemps en voiture ou autres constituent une bouffée d’air frais bienvenue pour de nombreux Français.
Des projets d’évasion au beau fixe malgré un budget famille serré
Malgré les discussions sur l’impact de l’inflation sur le budget des familles françaises, 65% des personnes interrogées envisagent de consacrer une enveloppe au moins équivalente à celle de 2023. Seuls 16 % ont réduit leurs dépenses.
En moyenne, chaque personne prévoit de dépenser 634 euros par tête pour des vacances de printemps en voiture ou autres. Dans les détails, les familles ajustent ce montant à 489 euros par personne, tandis qu’un séjour à deux atteint en moyenne 691 euros par personne.
Ces chiffres révèlent une certaine résilience financière malgré les contraintes économiques actuelles. Elles montrent que les Français sont déterminés à maintenir leur projet d’évasion, même s’ils doivent adapter leurs dépenses en conséquence.
L’hébergement parmi les postes de dépenses les plus lourds
L’hébergement se taille la part du lion dans le budget vacancier. Notamment, il engloutit un peu plus de la moitié des dépenses totales (52,5 %). Cette prépondérance n’étonne guère, car le choix de l’endroit où séjourner revêt une importance capitale pour la réussite de son séjour.
Ensuite, le transport constitue seconde des postes de dépenses la plus conséquente (27,6 %). Cette catégorie avait subi une augmentation significative des coûts, notamment en raison de la hausse des prix du carburant ou des billets d’avion. Ces hausses obligent souvent les vacanciers à effectuer des ajustements dans d’autres domaines de leur budget. Ce qui témoigne des défis financiers auxquels les vacanciers printaniers sont confrontés en matière de planification.
L’automobile, principal moyen de transport pour effecture les trajets
Chez les Français, on privilégie les vacances en voiture. L’automobile demeure le moyen de transport le plus prisé pour rejoindre son lieu de villégiature, surtout lorsque la destination se trouve en France.
En effet, 55,8 % des répondants confient opter pour ce moyen de locomotion. Près de 80% d’entre eux préfèrent prendre la route plutôt que le train ou l’avion. Seulement 11,3 % choisiront le train, tandis qu’une fraction minime (0,4 %) optera pour le covoiturage.
Ce choix s’explique par la flexibilité et la liberté qu’offre l’automobile, ainsi que par la possibilité de découvrir des endroits pittoresques en chemin.
Destination la plage ou la montagne !
54,9 % des Français choisissent généralement de recharger leurs batteries en respirant l’air marin. Cependant, les vacances de printemps en voiture ne se limitent uniquement pas à la plage comme destination. Bien que la saison de ski continue de battre son plein, seuls 15 % des vacanciers opteront pour la montagne.
Dans plus de la moitié des cas (50,4 %), le séjour durera une semaine. La plupart prendront une location de vacances (40,5 %) ou résideront chez des proches (27,6 %).
Cette diversité de choix reflète les différentes attentes des vacanciers, certains privilégiant les activités en plein air et la détente au bord de la mer, tandis que d’autres optent pour des vacances plus actives à la montagne.
Partir à l’étranger : pour ou contre ?
Bien que beaucoup optent pour des vacances de printemps en voiture, les projets d’évasion à l’étranger n’en sont pas moins dénués de charme. Cependant, leur coût élevé limite cette option à une minorité.
Selon Easyvoyage, un séjour à l’étranger représente un budget deux fois plus important qu’un séjour en France. Pour qui ont la chance de partir loin, la grande majorité (72 %) choisissent l’Europe, tandis que seulement 28 % optent pour un vol long-courrier. Pour les destinations long-courriers, Taipei (Taïwan), Osaka (Japon) et Lima (Pérou) sont les plus prisées. Mais encore, Tirana, en Albanie, se démarque comme la destination la plus populaire. Elle propose des vols à un prix moyen de 184 euros en classe économique.
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Avec ETX Daily Up
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