Une récente étude s’est penchée sur les effets indésirables de la consommation de sodas caféinés chez les jeunes enfants. Comme conclusions, ils ont trouvé que cela favorise la dépression et stimule l’envie de boire de l’alcool à un âge précoce. De plus, cela expose à un risque d’impulsivité élevée.
Consommation de sodas caféinés : l’ennemi du développement infantile
Avec ou sans preuve scientifique, beaucoup pensent que la consommation de sodas caféinés en excès n’apporte rien de bon à l’enfant. De fait, ces boissons représentent de véritables bombes caloriques gorgées d’additifs. Ils constituent une réelle source de déficit nutritionnel. Et plus particulièrement, les variétés contenant de la caféine auraient également de graves répercussions sur le développement, si consommées quotidiennement.
Des études suggèrent qu’une telle habitude accroît le risque de contracter une propension à l’alcoolisme précoce chez les enfants. En effet, la caféine agirait comme un précurseur, préparant le terrain pour ce comportement à risque.
Ainsi, au-delà de l’impact calorique, ces boissons pourraient influencer négativement le parcours de développement des jeunes, créant des préoccupations supplémentaires quant à leur santé future.
Un risque d’alcoolisme à un âge précoce chez les enfants
L’étude menée démontre que chez les enfants, la consommation de sodas caféinés tous les jours laisse entrevoir une future propension à la prise de substances addictives.
Selon l’auteure de l’étude, Mina Kwon, du Département de psychologie de l’Université nationale de Séoul, cette corrélation pourrait s’expliquer par le fait que les substances présentes dans ces boissons gazeuses, telles que la caféine et le sucre, présenteraient des effets toxiques sur le cerveau des plus jeunes. Ces effets pourraient les rendre plus réceptifs à des substances plus dures, comme l’alcool.
Cela souligne ainsi des implications importantes pour la santé mentale future des enfants.
Boissons gazeuses en excès : une propension à boire de l’alcool plus tôt comme risque
Les boissons hyper sucrées agrémentées de caféine présentent un dilemme majeur, particulièrement avec leur forte popularité auprès des enfants.
Des chercheurs sud-coréens et américains se sont notamment penchés sur les effets de la consommation de sodas caféinés. Ils ont révélé une conclusion intrigante : ces breuvages serviraient de porte d’entrée à la prise d’alcool tôt.
L’étude, réalisée sur plus de 2 000 enfants américains âgés de 9 et 10 ans, s’est étalée sur une année entière. Il a dévoilé que ceux qui consommaient quotidiennement ces boissons sucrées avaient de fois plus de risques de boire de l’alcool à un âge précoce. Cette observation met en lumière les implications sérieuses de la consommation sodas caféinés chez les enfants. Elle met en évidence un lien potentiel entre ces habitudes et des comportements à risque ultérieurs.
Une habitude alimentaire favorisant également la dépression
En plus de leur impact calorique, les boissons gazeuses, tout comme d’autres produits ultra-transformés, peuvent accroître le risque de dépression. C’est ce que révèlent les résultats des conclusions significatives d’une récente étude américaine publiée dans la revue JAMA Open Network.
Plus particulièrement, cette association touche les femmes âgées de 42 à 62 ans. Les chercheurs en ont conclu qu’il existe un mécanisme potentiel reliant les aliments ultra-transformés à la dépression. Ils ont mis en lumière le rôle des microbes intestinaux dans le métabolisme et la production de protéines agissant sur le cerveau. Les édulcorants artificiels présents dans la composition de ces boissons ont été identifiés comme potentiellement responsables de cette dépression.
Des effets indésirables, oui… Mais à partir de quel seuil ?
Les parents peuvent légitimement se questionner sur le cas de leurs enfants quant aux revers de la consommation de sodas caféinés. Quelles peuvent être les conséquences s’ils ont déjà offert ce breuvage à leur progéniture ?
Malheureusement, il est difficile de fournir une réponse définitive à cette question. Bien que l’étude ait pris en compte les antécédents familiaux de prise de drogues et le niveau d’éducation des parents, elle souligne l’absence de consensus sur une quantité « sûre » de caféine chez les enfants.
De plus, certains jeunes s’avèrent plus vulnérables que d’autres aux effets indésirables liés à l’ingestion fréquente de caféine, complexifiant l’établissement de normes claires.
Une impulsivité accrue comme autre conséquence
Au-delà du risque d’addiction à l’alcool à un âge précoce, les recherches menées par des scientifiques américains et coréens révèlent des implications supplémentaires.
Les enfants avec une consommation de sodas caféinés quotidienne présentent non seulement un risque accru d’une future impulsivité, mais aussi une altération de leur mémoire de travail.
Ces résultats mettent en lumière les effets étendus de la prise régulière de ces boissons sur le développement cognitif. Ils soulèvent des préoccupations plus larges quant aux conséquences comportementales et cognitives associées à cette habitude alimentaire.
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Avec ETX Daily Up
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